Méline Darsck

auteure

d'histoires érotiques

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Le train …


Précédemment

Quel réveil ! C’est pas tout à fait ce que je voulais mais waouhhhh, il était doué !

On est où ? Dans quelle ville ? Il me restait encore combien d’heures avant de descendre de ce wagon dédié au plaisir ?

Je sentais son souffle dans mon cou, sa respiration qui reprenait un rythme normal, et ses mains maintenant câlines. Elles poussèrent mes cheveux et dégagèrent ma nuque qu’il vint embrasser. Il recula et quitta mon cul. Ses mains relevèrent plus encore mon pull.

Je me redressai lentement, les bras tendus au-dessus de ma tête, puis ses doigts s’affairèrent autour de la fermeture de ma jupe et je me retrouvai rapidement aussi nue que lui. Il se redressa, m’aida à me relever, puis à lui faire face. Il était plus grand que moi, pas beaucoup mais pour pouvoir plonger dans ses yeux, ma tête dut basculer.

Il se pencha vers moi, embrassa le coin de mes lèvres avant de descendre le long de mon cou, entre mes seins qu’il empaumait. Ses doigts pressaient mes pointes, sa langue les agaçait, ses dents les mordillaient. Je tendis mon buste, m’offrit plus encore. Mon sexe coulait entre mes cuisses, je n’étais pas rassasiée, je n’avais pas joui. .Je voulais ses doigts, sa queue, sa langue, je le voulais partout et tout de suite. Mais je le laissai m’embrasser à son rythme.

Lorsqu’il releva enfin la tête, mon regard n’était qu’envie, tout comme le sien.

. . . . - Tu es très belle, murmura-t-il.

Je posai un doigt sur ses lèvres. Pas de mots, pas de promesses ou de compliments. Juste le plaisir de l’instant présent. Je me hissai sur la pointe des pieds et l’embrassai à pleine bouche, le bousculant jusqu’à ce que son dos cogne la porte. Mes mains passèrent partout sur son corps avant de s’attarder sur son intimité qui demandait du repos.

J’étais gourmande, je le voulais aussi dur que j’étais moite.
Il cessa notre baiser, saisit mes mains qui sans doute le rendaient sensible mais pas dur. Il lui fallait quelques minutes… je le savais mais je ne pouvais m’empêcher d’espérer un miracle. Il me poussa doucement au milieu de la pièce et s’agenouilla, tout en me regardant droit dans les yeux. Il sortit sa langue, se lécha les lèvres puis…

Oh oui !

Je basculai ma tête en arrière, dès qu’il frôla mon clitoris. Je posai mes mains sur ses cheveux lorsqu’il le fit prisonnier, et je jouis sous ses coups de langue précis.
Dieu qu’il était doué. Je sentis mes jambes fléchir, voulus reculer, mais ses mains sur mes fesses m’en empêchèrent.

. . . . - Laisse-moi, dis-je à mi-voix… reprendre… je… je vais…


à suivre...


 

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